6). Les dernières années furent très difficiles : les bouleversements politiques dans son pays, l’absence de financements stables voire de tout financement, ont créé d’énormes difficultés pour le fonctionnement de l’Institut. De plus avec l’âge, l’énergie et la force qui l’animaient autrefois, ont diminué. Néanmoins il a continué à se battre et à travailler jusqu’au bout. ABT-737 chemical structure Parmi les milliards d’êtres humains il en est quelques uns qui laissent leur empreinte en sciences, en économie, en politique… empreinte qui, le cas échéant, bouleversera
le destin des hommes et/ou leur environnement. Pour moi, P.G. Kostyuk faisait partie de cette élite. Et la mission dont il s’est investi c’est la recherche et la transmission du SAVOIR. Les différentes facettes de son parcours ressemblent à une tour de plusieurs étages qu’il aura gravie avec le temps : activités administratives et pédagogiques, création de revues MI-773 order et rédaction d’ouvrages scientifiques, organisation de conférences, cours, réunions… et, au sommet de cette pyramide, comprendre l’INCONNU. Les postes qu’il a occupés, les responsabilités qu’il a exercées, les récompenses honorifiques qui ont pu en découler, ne constituaient pas une fin en soi mais un moyen pour parvenir au but réel
: faire avancer la CONNAISSANCE (Fig. 7). Platon Kostyuk était un homme comme il en existe peu. Son goût du Savoir, sa volonté de dévoiler l’Inconnu, sa recherche de la Vérité transcendent les domaines purement scientifique ou administratif où il excellait. Son humanisme se révèle dans son seul ouvrage autobiographique non scientifique «Sur l’océan du temps» que P.G. Kostyuk termine par ces mots: “Préservez-moi de l’agitation et du mensonge et tenez-moi à l’abri et de la richesse et de la pauvreté”. Je tiens à remercier chaleureusement d’une part, le Dr. Michel Weiss pour avoir
réalisé, à partir d’une version crotamiton longue en russe, un premier condensé en français, et d’autre part, le Dr. Jacques Stinnakre pour son travail de révision approfondi. “
“The vertebrate retina represents the input stage of the visual system. Here, light is transformed by photoreceptors into electrical signals, which are then processed by a complex neural network of horizontal cells, bipolar cells, and amacrine cells (Wässle, 2004 and Masland, 2012). Finally, retinal ganglion cells collect the outcomes of these network operations and encode them in patterns of spikes for transmission along the optic nerve to various downstream brain regions. The signal processing by its neural network means that the retina is not the equivalent of a CCD camera for the rest of the brain. While much of the processing and signal transmission proceeds in a spatially ordered way, it does not occur in a simple pixel-by-pixel fashion.